TEDDY SWIMS

De nombreuses aspirations artistiques qui augurent d’une carrière prometteuse

Plus connu sous le pseudonyme de Teddy Swims, Jaten Dimsdale voit le jour le 25 septembre 1992. Il est originaire de Conyers, ville située dans l’État de Géorgie, aux États-Unis. Soutenu par sa famille, il pratique le football américain dès son enfance. Il s’intéresse également à la comédie et à la musique. Au lycée, il ne tarde pas à rejoindre la chorale de son établissement et suit des cours de comédie musicale.

Après l’interprétation de plusieurs œuvres de Shakespeare, Teddy Swims envisage de se lancer dans des études pour devenir acteur. En parallèle, il se perfectionne au chant grâce à des tutoriels vidéo sur le Web. Il s’adonne aussi à la pratique d’instruments tels que le piano et le ukulélé. Ses parents l’initient à différents styles musicaux, en particulier la soul avec les disques de Marvin Gaye ou encore Stevie Wonder.

Teddy Swims : un style éclectique qui touche à tous les registres musicaux

La carrière musicale de Teddy Swims s’amorce en 2019. Pendant cette période, il effectue un séjour à Atlanta. Ses premières expériences sur scène se font par le biais de différents groupes, comme WildHeart et Eris. Ces incursions lui donnent l’occasion de découvrir d’autres styles et registres ; du hair metal au post-hardcore, en passant par le rock alternatif.

Toujours à la fin des années 2010, Teddy Swims travaille sur plusieurs reprises pour alimenter sa chaîne YouTube. Parmi celles-ci, on peut évoquer "Naturally" d’Allen Stone, "Mercy Mercy Me" de Marvin Gaye, "Either Way" de Chris Stapleton, sans oublier "Valerie" d’Amy Winehouse et "Rock With You" de Michael Jackson.

 

Un début de carrière prolifique pour Teddy Swims

Teddy Swims enregistre également ses premiers titres en 2019. Parmi ceux-ci figurent des covers : "I Can’t Make You Lovely", "Rivers" et "Someone You Loved". Il inaugure la décennie suivante avec d’autres singles, dont "What’s Going On", "You’re Still the One" et "Blinding Lights". Autant de titres qui démontrent la variété de son style. On distingue des influences propres à la pop, la musique urbaine, la country et la soul.

Au cours de l’année 2021, Teddy Swims sort une version live au piano de "Please Turn Green". On lui doit aussi des singles inédits. À titre d’exemple, on peut s’attarder sur "Till I Change Your Mind", "My Bad", "Simple Things" et "Bed on Fire". Toujours en 2021, il signe un premier album EP, "Unlearning", ainsi qu’un album de Noël, "A Very Teddy Christmas". Ce dernier se compose de six titres, dont "This Christmas" et "Please Come Home for Christmas".

 

Des projets collaboratifs qui retiennent l’attention sur la scène musicale internationale

En 2022, Teddy Swims travaille avec de nombreux artistes. Il chante aux côtés de Meghan Trainor pour "Bad for Me", Burns et MK pour "Better", sans oublier TELYKast pour "Loveless". À cela s’ajoutent "All That Really Matters" avec Illenium, "Elephant in the Room" avec Mitchell Tenpenny et "Only Love Can Hurt Like This" avec Paloma Faith.

Pour Teddy Swims, l’année 2022 est également marquée par la sortie d’autres titres en solo, comme "Someone Who Loved You", "2 Moods", "911" et "Devil in a Dress". A la même période, il enregistre deux albums EP, respectivement intitulés "Tough Love" et "Sleep Is Exhausting". Avant d’entamer une tournée sur le sol américain, le chanteur de Géorgie interprète son single "Don’t Stop Believin’" aux côtés de Kodi Lee.

 

2023 : la sortie du premier album studio de Teddy Swims

À bien des égards, 2023 apparaît comme l’année de la consécration pour Teddy Swims. Il enregistre "Easy to Love" avec Armin van Buuren et Matoma, puis "Happy People" avec X Ambassadors et Jac Ross. Il forme également un duo avec Elley Duhé pour la chanson "Face Myself", sans oublier un featuring avec All Time Now sur "New Religion".

On lui doit aussi le titre "Lose Control", décliné en versions piano, cordes et live. Autre morceau notable de Teddy Swims : "What More Can I Say". Fin 2023, l’artiste concrétise son premier album studio : "I've Tried Everything But Therapy (Part 1)". Ce dernier se compose de dix titres, dont "Suitcase", "Flame", "Evergreen", "The Door" et "Last Communion".